Into the wild
J’ai toujours eu une passion pour les films d’aventures et de découverte. D’ailleurs, je suis moi-même une personne toujours en quête de nouvelles aventures. C’est quelque chose qui m’est inné et que je tiens de mon grand-père. Je pense que c’est un peu pour cela que j’ai bien aimé le film « Into the wild » ou « Vers l’inconnu », parce qu’on retrouve dans un personnage ayant un peu les mêmes caractéristiques que moi.
Christopher McCandless, brillant étudiant américain, vient d’obtenir son diplôme en poche. Ce dernier est un jeune homme à qui un avenir très prometteur est assuré. Cependant, étant contre les principes de la société moderne, il décide de partir en expédition sans prévenir ses parents. Il brule tous ses documents, envoie toutes ses économies à Oxfam et se met en route pour le Sud des États unis. Il découvre l’Arizona, le Grand Canyon, la Californie et se trouve entre-temps de petits boulots pour financer ses voyages.
Le jour où il arrive au Mexique, l’envie de se rendre en Alaska lui prend soudainement. Il fera tout ce qui est en son pouvoir pour y aller, et il arrivera à ses fins. Là-bas, il découvrira les chaines de montagnes enneigées et sera le témoin d’un calme et d’une paix absolue. Il y découvrira le bonheur qu’il a toujours recherché, le paradis sur terre. Christopher passera cinq mois de sa vie en Alaska, mois pendant lesquels il va se rendre compte de beaucoup de choses.
Au bout de deux ans, Christopher décide de mettre fin à son voyage, mais il n’y parviendra pas, étant bloqué par une rivière. Et c’est là qu’il se rendra compte que l’homme n’est pas fait pour être seul. Au cours de son expédition, il s’était lié d’amitié à la plupart des gens qu’il a rencontrés, car Christopher est avant tout quelqu’un de bon et d’aimant. Cependant, aveuglé par son envie irréversible de l’Alaska, il ne comprend pas le bonheur que peut procurer l’amour de l'autre.
Au fil du temps, il en prendra conscience grâce à un livre, ouvrage de Tolstoï, qui décrit le bonheur sans tache, dans une petite société rurale. La vieillesse le gagne et juste avant de rendre l’âme, Christopher McCandless écrira sur la page d’un livre « Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé ».
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